André Bratten, Gode
André Bratten, Gode
En ce mois de Décembre, on cherchait l'album de l'année 2015. Et si finalement, il nous venait du grand nord, et plus précisément d'Oslo. En effet, le norvégien André Bratten signe avec Gode un album passionnant qui flirte avec le magnifique. On l'avait repéré sur l'atlas des musiciens électroniques, il y a deux ans, avec Be a man you ant un album destiné plutôt au clubs mais combien déjà talentueux.
Ici, il se tourne plutôt vers l'expérimental, en mêlant instruments traditionnels et machines. Il joue sur cet album, pas moins de quatorze instruments, se tournant vers la musique classique avec des cordes et un piano qui viennent ponctuer les ambiences électroniques. On songe à James Holden, en mêlant fondations rythmiques minimalistes et harmonies plus organiques.
Pour Noël, il est donc recommander d'offrir sous le sapin, ce petit bijou...
Ici, il se tourne plutôt vers l'expérimental, en mêlant instruments traditionnels et machines. Il joue sur cet album, pas moins de quatorze instruments, se tournant vers la musique classique avec des cordes et un piano qui viennent ponctuer les ambiences électroniques. On songe à James Holden, en mêlant fondations rythmiques minimalistes et harmonies plus organiques.
Pour Noël, il est donc recommander d'offrir sous le sapin, ce petit bijou...
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