A travers la vitre, le journal d'un maître de la littérature.
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A travers la vitre, le journal d'un maître de la littérature.
En 1915, Sôseki, malade, écrit ce journal qui est en fait une réflexion magistrale sur la création et la vie en général. De petits riens, comme la vie de ses chats, il fait naître une œuvre profonde et poétique. Il raconte son quotidien d’écrivain, balayé par les obsessions qui ont parcouru son œuvre. Ecrit entre deux crises d’ulcères, ce récit autobiographique s’interroge sur l’art, la littérature, la maladie.
Comme dans Oreiller d’herbes, une dizaine d’année auparavant, Sôseki dépeint sa condition d’artiste. Mais cette réflexion est parcourue par l’urgence, confronté à la maladie, qui devra l’emporter un an plus tard. Conscient de la mort inéluctable, les souvenirs d’autrefois ressurgissent dans ce journal . Des promenades dans le Tokyo de son enfance, des spectacles dans des salles de quartier, une conversation avec son coiffeur, la mort de son chien : le quotidien d’un intellectuel transcendé par la littérature.Il est essentiel de lire ce récit car la plume de Sôseki est celle d’un maître de la littérature .
Comme dans Oreiller d’herbes, une dizaine d’année auparavant, Sôseki dépeint sa condition d’artiste. Mais cette réflexion est parcourue par l’urgence, confronté à la maladie, qui devra l’emporter un an plus tard. Conscient de la mort inéluctable, les souvenirs d’autrefois ressurgissent dans ce journal . Des promenades dans le Tokyo de son enfance, des spectacles dans des salles de quartier, une conversation avec son coiffeur, la mort de son chien : le quotidien d’un intellectuel transcendé par la littérature.Il est essentiel de lire ce récit car la plume de Sôseki est celle d’un maître de la littérature .
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