Triomphe, La Féline
Triomphe, La Féline
Avait-on oublié Agnès Gayraud alias La Féline et ses chansons électro-rock où elle évoquait l'intime dans un très beau Adieu l'enfance ? Pas vraiment. Elle revient ce 27 Janvier 2017 avec un album lumineux, tourné cette fois ci vers le monde, dans une posture bien loin de l'archétype du chanteur égocentrique. Car Triomphe construit chanson après chanson une somme de petits univers, qui nous projette dans un univers plus grand souvent d'une grande douceur et qui incite au voyage.
Même si La Féline revendique son goût pour la pop, c'est l'environnement littéraire qui accroche notre oreille en premier lieu. Poésies ou chanson, on songe souvent à un personnage ou un paysage tout droit sortis d'un roman japonais. Yukio Mishima ou peut être Natsumé Sôseki. On écoute ses morceaux sur un oreiller d'herbes, arrangé avec finesse par Xavier Thiry (Hello Kurt)
Signe toujours d'ouverture, Trophée aux paroles plutôt dures évoque une guerrière de Manga.
L'intelligence de ce patchwork est de mêlé guitare rock digne de Portishead et sonorités organiques, voir électro. La voix d' Agnès Gayraud a pris de l'assurance et on est conquis par ces sommes d'éléments qui deviennent homogènes et lumineux comme un ensemble de particules.
Autre titre tubesque, Séparés est tout de suite entêtant et nous renvoie à ce qui constitue notre couple au quotidien.
La Féline se dirige vers ce que l'on peut considérer comme une œuvre indépendante et entière. Elle a en tout cas conquis le grondement de la montagne.
Même si La Féline revendique son goût pour la pop, c'est l'environnement littéraire qui accroche notre oreille en premier lieu. Poésies ou chanson, on songe souvent à un personnage ou un paysage tout droit sortis d'un roman japonais. Yukio Mishima ou peut être Natsumé Sôseki. On écoute ses morceaux sur un oreiller d'herbes, arrangé avec finesse par Xavier Thiry (Hello Kurt)
Signe toujours d'ouverture, Trophée aux paroles plutôt dures évoque une guerrière de Manga.
L'intelligence de ce patchwork est de mêlé guitare rock digne de Portishead et sonorités organiques, voir électro. La voix d' Agnès Gayraud a pris de l'assurance et on est conquis par ces sommes d'éléments qui deviennent homogènes et lumineux comme un ensemble de particules.
Autre titre tubesque, Séparés est tout de suite entêtant et nous renvoie à ce qui constitue notre couple au quotidien.
La Féline se dirige vers ce que l'on peut considérer comme une œuvre indépendante et entière. Elle a en tout cas conquis le grondement de la montagne.
Sujets similaires
» Triomphe, l'album prophétique!
» Adieu l'enfance, La Féline
» La Féline, a conquis "le grondement de la montagne".
» Adieu l'enfance, La Féline
» La Féline, a conquis "le grondement de la montagne".
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|