Krazy Kat, le comic strip Dada
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Krazy Kat, le comic strip Dada
George Herriman a oeuvré au comic strip américain Krazy Kat entre 1913 et 1944. Le "chat fou" était publié dans les journaux le Week-end et la semaine. Sa première publication eut lieu dans le New York Evening Journal de William Randolph Hearst.
Krazy Kat mêle poésie, absurde et insouciance. Des chercheurs actuels ont vu dans cette bande dessinée un précurseur de Dada et d'autres, du Postmodernisme. Depuis 90 ans, c'est la bande dessinée préférée des critiques et autres passionnés.
L'intrigue est pourtant simple: Dans le comté de Coconino, un chat très curieux et un peu simple d'esprit est amoureux d'une souris (Ignatz) qui n'a pour seul but que de lui jeter des briques à la tête, tant Krazy Kat l'insupporte. La relation est triangulaire. Un chien policier ( Le Sergent Pupp) est là pour empêcher les desseins de la souris et la mettre régulièrement en prison. Krazy Kat ne se rend compte de rien et voit dans cette intrigue un simple jeu, une manifestation de l'amour d'Ignatz.
Krazy Kat parle une sorte d'argot, mélange d'anglais, français, espagnol, yiddish et d'autres langues, ce qui donne au comic strip une dimension universelle. D'une inaltérable bonne humeur, le chat manifeste sa joie en chanson et en danse.
A l'époque, la série ne connait pas un franc succès. Les lecteurs sont gênés par le refus iconoclaste de Herriman de se conformer aux codes conventionnels du comic strip qui alors se contente d'une succession de Gags. Mais grâce au magnat de l'édition William Randolph Hearst, qui adore Krazy Kat, elle peut continuer à paraître dans ses journaux, parfois directement sous ses ordres.
Krazy Kat mêle poésie, absurde et insouciance. Des chercheurs actuels ont vu dans cette bande dessinée un précurseur de Dada et d'autres, du Postmodernisme. Depuis 90 ans, c'est la bande dessinée préférée des critiques et autres passionnés.
L'intrigue est pourtant simple: Dans le comté de Coconino, un chat très curieux et un peu simple d'esprit est amoureux d'une souris (Ignatz) qui n'a pour seul but que de lui jeter des briques à la tête, tant Krazy Kat l'insupporte. La relation est triangulaire. Un chien policier ( Le Sergent Pupp) est là pour empêcher les desseins de la souris et la mettre régulièrement en prison. Krazy Kat ne se rend compte de rien et voit dans cette intrigue un simple jeu, une manifestation de l'amour d'Ignatz.
Krazy Kat parle une sorte d'argot, mélange d'anglais, français, espagnol, yiddish et d'autres langues, ce qui donne au comic strip une dimension universelle. D'une inaltérable bonne humeur, le chat manifeste sa joie en chanson et en danse.
A l'époque, la série ne connait pas un franc succès. Les lecteurs sont gênés par le refus iconoclaste de Herriman de se conformer aux codes conventionnels du comic strip qui alors se contente d'une succession de Gags. Mais grâce au magnat de l'édition William Randolph Hearst, qui adore Krazy Kat, elle peut continuer à paraître dans ses journaux, parfois directement sous ses ordres.
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