Le temps de travail: 2 à 3 jours par semaine
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Le temps de travail: 2 à 3 jours par semaine
Je songe que le temps de travail devrait passer à 2 ou 3 jours par semaine, pour 4 jours de week-end, sans que le salaire soit affecté. Ainsi l'homme civilisé pourrait pleinement s'épanouir au sein de la société. Du reste, nous éviterions nombre de maladies, à mettre sur le compte du stress ou du surmenage.
Notre conception de l'épanouissement personnel au sein de la société est ni plus ni moins moyenâgeuse. Et notre asservissement volontaire correspond sans doute à des restes de l'esclavage et de l'asservissement des cerfs par les seigneurs. En effet, comment peut-on travailler 5 jours sur 7-parfois plus- sans devenir totalement aliéné et corrompu par le système.
Le problème n°1 prend naissance dans le fait que les différents spécialistes qui relaient l'information, ne sont ni plus ni moins à la solde du pouvoir dominant, en gros des laquais. Les différents organes de presse et médias appartiennent à de grandes fortunes, qui n'ont comme seul intérêt, que nous travaillons plus et à moindre coût, afin de s'assurer le maximum de bénéfices.
Il est probable que ce genre de théorie ne sera donc jamais exposé à la une d'un journal de 20h, tant elle apparaîtrait loufoque et à contre-courant des mesures libérales en devenir. Mais si l'on n'y réfléchit bien, qu'est ce qui justifie qu'une majorité passe la majeure partie de leur vie à travailler sans réel plaisir. Ces conceptions sont, je songe, barbares et destructrices.
Nous devons prendre de la hauteur, et comme un extra-terrestre qui observerait notre société lointaine, réfléchir à une alternative à cet immense gâchis.
Notre conception de l'épanouissement personnel au sein de la société est ni plus ni moins moyenâgeuse. Et notre asservissement volontaire correspond sans doute à des restes de l'esclavage et de l'asservissement des cerfs par les seigneurs. En effet, comment peut-on travailler 5 jours sur 7-parfois plus- sans devenir totalement aliéné et corrompu par le système.
Le problème n°1 prend naissance dans le fait que les différents spécialistes qui relaient l'information, ne sont ni plus ni moins à la solde du pouvoir dominant, en gros des laquais. Les différents organes de presse et médias appartiennent à de grandes fortunes, qui n'ont comme seul intérêt, que nous travaillons plus et à moindre coût, afin de s'assurer le maximum de bénéfices.
Il est probable que ce genre de théorie ne sera donc jamais exposé à la une d'un journal de 20h, tant elle apparaîtrait loufoque et à contre-courant des mesures libérales en devenir. Mais si l'on n'y réfléchit bien, qu'est ce qui justifie qu'une majorité passe la majeure partie de leur vie à travailler sans réel plaisir. Ces conceptions sont, je songe, barbares et destructrices.
Nous devons prendre de la hauteur, et comme un extra-terrestre qui observerait notre société lointaine, réfléchir à une alternative à cet immense gâchis.
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